Petite retrospective de BA, pendant le vol pour ushuaia.
Jour1:
A la sortie de l’avion, direction banco de la nacion pour le change. Cool: 1peso=10euros, mieux que dans le guide.
Ainsi chargé de papiers en petites coupures, nous nous extirpons de la meute agressive des raseuteurs de taxis pour prendre la ligne 8 du bus qui rejoint le centre. Le plus long (2h) mais le moins cher. Peine perdue, montée dans le bus impossible pour manque de pièces, seulement acceptée dans son horodateur. Aller-retour a l’aéroport…
Enfin, le trajet permet de découvrir la banlieue sombre de Buenos aires. Plastiques et détritus jonchent fossés et rivières. Les habitations dénotent une classe sociale pauvre. Puis le décor change avec l’arrivée des commerces et enseignes jusqu’au centre ou nous descendons noyé dans le bruit des sirènes et de la circulation.
Nous avons choisi l’auberge de jeunesse portal del sur pour poser notre sac qui commencent a peser!
Très bel ancien bâtiment, l’ambiance est sympa mais le prix un peu élevé pour supporter le bruit de la rue pendant la nuit.
Du coup, après un sandwich, on fait le tour des autres auberges a titre de consultations. Finalement on se rend compte qu’un hôtel, non référencé dans le guide peut être moins cher.
Un tour sur la plaza de mayo, entouré de bâtiment historique dont celui en rose du gouvernement, abritant la présidente Kirchner.
Un passage dans quelques bureaux de compagnie aérienne nous fait prendre conscience que c’est moins cher sur internet.
Le soir, une fois traversé une manif de motard, on s’arrête manger un choripan devant un match amicale de l’argentine.
Jour2:
Petit dej, la voisine gueule pour apprendre a ses voisins les lettres de l’alphabet en anglais.
On achète les places pour ushuaia sur internet.
Puis on rend la chambre pour aller poser les sacs a l’hotel voisin, un peu plus décrépi mais moins cher.
Ensuite, course al banco pour des pieces puis bus 64 pour le quartier de la boca.
Il ne faut pas s’eloigner des sentiers battus.Les flics sont partout mais la pauvreté est juste de l’autre coté des grilles pleinement visible. Drôle de tableau.
On mange des empenadas et un sandwich a l’escalope pour trouver le stade de la bombonnera qui vi naitre maradonna!
Retour au centre plaza de mayo, passant aussi sur l’avenue 9 de julio la plus large du monde a 16 voies!
Les mères au foulard blanc sont présentes comme tout les jeudis pour perpétrer la mémoire de leurs fils disparus pendant la guerre sale.
Un tour vers le quartier de recoleta, son fameux cimetière, le hard rock café, un festival de rock et la fleur qui se ferme avec le crepuscule.
Douche, resto avec la biere nationale, la quilmes a 4€/l et dodo.
Jour3:
Petit dej, toujours impossible de trouver du jus d’orange. Seulement de la poudre mélangé a de l’eau. Et les croissants sont de la brioche!
Le bus 29 nous amène voir le stade de river plate, le plus grand d’argentine. Le quartier est très chic.
On voit des promeneurs de chien tels des musheurs!
On se ballade dans les grands parcs, des gens cours ou s’aèrent.
Puis on se dirige vers le quartier du port en passant par le musée du bicentenaire (de l’indépendance avec l’espagne).
Le pont de la femme, la visite des bateaux et on se retrouve comme tous les argentins pour refaire le monde autour d’un café au lait.